Reprise VTT en compagnie d’Arthur et Fred Boulet, nos vététistes aguerris. Sous le conseil du père, direction Houdain sur « les traces de d’Artagnan », randonnée organisée par le club des Bads Boys de la dite ville.
Ainsi nous partîmes à travers les monts de l’Artois avec une ascension d’un petit bois dès les 800 premiers mètres à + de 12%. Ça pique grave ! et me suis dit, je suis le 3ème Boulet... Direction Olhain, puis l’antenne de Bouvigny à travers de jolis chemins accidentés malgré un fléchage hasardeux.(on y reviendra). Beaucoup d’hésitation de notre petit groupe et une personne du club nous interpelle en voiture : « Smartphone en main, vous n’êtes pas sur le parcours, regardez ! » Et bien non mon ptit père, on est bien sur le parcours !! mdr on rigole, une petite photo et on repart direction Notre Dame de Lorette, Le Mémorial canadien et plus de flèche. J’appelle l’assistance et personne ne sait m’indiquer la route et pas de feuille de route ! On décide de trouver une solution qui nous conduisait à faire du "hors parcours" et soudain, nous retombions sur le parcours grace une flèche qui apparue du macadam à notre passage. Alléluia !. Puis 2ème ravitos et nous expliquions nos déboires toujours poliement. Nous n’avions que 30km. Il était déjà 10h et nous étions dans les 5 premiers !. Mdr, et comme me le signala Fred :"ça n’a pas l’air de les inquiéter." Une autre voiture des organisateurs quand à elle ne trouvait pas le ravito. Mdr une 2ème fois !!
Le retour, c’était les mêmes ascensions mais par d’autres côtés et un fléchage qui devenait de pire en pire, terriblement médiocre pour ne pas dire nul !!! Un retour à la salle vers 12h45 ou le sandwich et la boisson tombaient à point nommé. 64km au compteur au lieu de 55… on dira rien…tous étaient en formes.
Conclusion :Une bonne humeur de notre petit groupe nous permit de rouler à bonne allure sur un parcours très exigeant.
Parcours, nickel super top avec de jolis singles ça et là ! Un accueil chaleureux, 3 ravitos très achalandés et un « Very bad fléchage » à revoir dans sa totalité. Dommage, c’est le béaba d’une rando.